Marie Malavoy, la ministre de l’Éducation des loisirs et des sports a enfreint un tabou lorsqu’elle a affirmé que les écoles privées devront abandonner leurs examens d’admission pour conserver leurs subventions. De Paris, la première ministre Pauline Marois a aussitôt rabroué sa ministre en déclarant qu’il n’était pas question de couper les subventions aux écoles privées à ce moment-ci. Madame Pauline Marois était bien consciente qu’elle n’aurait pas l’appui des autres partis à l’Assemblée (…)
Éducation
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Il faut refuser de reculer sur la défense de l’école publique !
23 octobre 2012, par Bernard Rioux -
Le prix cher payé de la hausse des frais de scolarité !
1er juin 2011, par Sophie Rioux-Oliver« Les étudiants doivent faire leur juste part » ... « le Québec n’a pas les moyens de se payer le gel des frais de scolarité » ... « une hausse des frais de scolarité ne réduit pas l’accessibilité aux études » : autant d’arguments fallacieux que je tenterai dans cet article de démonter pour présenter le caractère néfaste de cette récente hausse des frais de scolarité.
Cette hausse annoncée dans le budget du gouvernement Charest élèvera la facture étudiante de 325 $ par années pendant 5 (…) -
L’Europe libérale aux commandes de l’école
12 décembre 2004, par Christian LavalLa question cruciale que posent le rapport Thélot et la nouvelle loi d’orientation concerne la logique de fond qui préside aux analyses et mesures proposées pour réformer l’école. Comment se construit aujourd’hui une loi sur l’école en France ? Qui en décide et surtout quelles sont les instances qui l’inspirent ? La forme et le fond, le processus et le contenu sont indissociables. L’impressionnante théâtralisation qui a accompagné l’élaboration de la loi depuis l’automne 2003 a répondu à un (…)
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La Coalition interpelle le ministre Reid
12 décembre 2004En juillet 2000, le système scolaire a été déconfessionnalisé par la loi 118. Un compromis temporaire a été fait à ce moment : les enseignements religieux confessionnels, catholique et protestant, furent maintenus en option avec l’enseignement moral. Cet aménagement exige une dérogation aux chartes de droits.
Devant l’imminence de la date butoir du 30 juin 2005, date à laquelle la clause dérogatoire à la Charte canadienne des droits et libertés incluse dans la Loi sur l’instruction (…)